Traiter avec sérieux du Coronavirus (Covid-19), en plein battage médiatique quotidien, et alors que cette pandémie n’en est qu’à ses prodromes après deux mois d’existence, est une entreprise plus délicate pour qui n’a pas un doctorat en bactériologie et ne souhaite pas alarmer vainement son entourage. Hier, encore nombreux étaient ceux qui, s’en tenant aux chiffres officiels de France, considéraient qu’il s’agissait d’une grippe bénigne sans rapport avec les épidémies foudroyantes que furent la Peste Noire en 1348-1351, qui décima un tiers de la population européenne, et la Grippe espagnole, qui fit en 1918 cinquante millions de victimes selon l’Institut Pasteur et peut-être cent millions selon des estimations récentes. Ils rappelaient qu’aux temps de Roselyne Bachelot, ancienne Ministre de la Santé du Président Sarkozy, des millions d’euros avaient été investis dans l’acquisition de vaccins anti-grippaux qui s’avérèrent finalement superflus. Nous avons ainsi pu lire dans un journal local de l’Ouest, il y a une semaine, une première page consacré au couple normand revenu d’Italie, où plus de 1000 décès sont répertoriés à ce jour, se plaindre d’un confinement de 14 jours qui l’empêche de se rendre au cinéma, de sortir boire un verre ou voir un spectacle !
Le regard porté sur l’épidémie, qualifiée désormais de pandémie par l’OMS (dont on peut douter il est vrai de l’impartialité, au vu d’un article documenté de mondialisation.ca du 4 mars dernier), a changé ces derniers temps dans la population depuis qu’on annonce 48 décès sur 2281 cas diagnostiqués au 11 mars 2020, en augmentation quotidienne de 32 %, sans compter les cas de réanimation en croissance (105) dont on peut pronostiquer que 50 % décéderont. En Italie, qui serait « en avance » de la France de 9 jours en termes de développement du virus, la Lombardie se trouve en quarantaine et les lombards ne peuvent sortir de chez eux ni circuler sans un permis délivré par le ministère de l’Intérieur. Les Etats-Unis ont annoncé, sans concertation avec la Commission européenne, l’interdiction aux vols en provenance d’Europe d’atterrir sur leur sol. En France, les médias nous annoncent depuis deux jours un passage imminent au stade 3 de l’épidémie : il nous sera peut-être confirmé par le Président Macron ce soir à 20h et, s’il ne s’y résout pas cette fois, dans quelques jours.
En Chine, quand bien même il nous a été indiqué que les décès - plus de 3000 sur 80 000 personnes contaminées - se raréfieraient, il n’en demeure pas moins que plus de 65 % de l’économie chinoise est actuellement à l’arrêt. La comparaison entre la cartographie terrestre de pollution au dioxyde de carbone de cet Etat avant et après la pandémie confirme au besoin cette observation. Selon une revue très confidentielle, la Lettre d’Informations Economiques Stratégique Internationales (LIESI), numéro 441, plus de 80 % de l’industrie manufacturière serait même fermée et 10 % de l’industrie exportatrice serait opérationnelle, avec des conséquences inquiétantes notamment pour l’économie indienne, dont le secteur de la production des smartphones serait considérablement impacté. Le gouvernement chinois a récemment déclaré que son industrie repartait de plus belle, mais une agence internationale a révélé que ces usines y sont éclairées, mais fonctionnent sans ouvriers. Ajoutons, pour avoir vu les vidéos de ce médecin chinois paniqué (https://twitter.com/LPLdirect/status/1221009377328615429?s=20), que la ville de Wuhan désertée sur la vidéo d’un jeune chinois désemparé, les corridors des hôpitaux de la région de Hubei jonchés de cadavres. Le gouvernement chinois prétend que la contagion du Coronavirus a ralenti dans sa progression. Comment donner dans ces conditions crédit aux chiffres mortuaires fournis par le gouvernement chinois ? N’a-t-il pas annoncé la construction de cinq hôpitaux en moins de deux semaines ? Cet empressement nous fait songer, quand on voit le désarroi des médecins officiant dans l’hôpital actuel de Wuhan, que ces hôpitaux seront des mouroirs pour une population décimée. Nous avons vu en effet ce gouvernement, en quelques jours, amasser un nombre considérable de soldats aux frontières de la région de Hubei, ainsi que dans sa gare et son aéroport, afin d’entraver toute sortie des ressortissants de cette région.
Une telle célérité dans l’application d’un dispositif de quarantaine, et la dureté avec laquelle les autorités chinoises l’ont mis en œuvre à l’encontre de 58 millions d’habitants, interroge inévitablement. Le numéro 441 d’une revue on ne peut plus confidentielle, un brin apocalyptique, la Lettre d’Informations Economiques Stratégique Internationales (LIESI), déclare que ce virus est le « 11 septembre bactériologique chinois » fomenté par le Conseil des Treize destiné, dans la continuité d’anciens plans de la Commission Trilatérale, à réaliser le programme américain des pierres du Stonehenge de Georgie, dont l’idéal est de contenir la population mondiale à 500 millions de personnes. En d’autres termes, il s’agirait d’une arme bactériologique adapté à l’ADN des Chinois. Le rédacteur de cette revue nous rend compte du cri d’alarme du Dr S. Dauger , chef de réanimation pédiatrique pour qui « il est très clair que nous ne serions pas prêts à recevoir une épidémie respiratoire de grande amplitude en pédiatrie en Ile-de-France si nous n’avons pas plus rapidement les ouvertures budgétaires de lits ainsi que des revalorisations de salaires, permettant au personnel qualifié de rester dans nos hôpitaux tout en étant motivé ». Il souligne que la baisse des crédits publics octroyés au secteur hospitalier avait pour objectif de favoriser l’agenda eugéniste de l’oligarchie mondialiste. Il prétend avoir pris connaissance d’un « document assez exceptionnel » qui expliciterait les vues de ces hauts cercles, qui anticipent une réduction de plus de 40 % de la population française et une chute de 50 % de son pouvoir d’achat dès 2025.
Plusieurs éléments sont de nature, il est vrai, à confirmer cet exposé complotiste. Cette pandémie survient à point nommé, peu avant le Nouvel An chinois, et il est clair, comme on l’a vu, que l’organisation économique de la Chine en est totalement déroutée. Après des mois de guerre économique menées depuis l’automne 2019 entre les Etats-Unis et la Chine sur le soja et l’activité de Huawei, qui peut nier que les conséquences économiques désastreuses d’un tel fléau pour l’Empire du Milieu ne peuvent qu’être ressenties avec, disons, soulagement par les Etats-Unis, dont est annoncé le plus bas taux de chômage de son histoire ? Il peut certes s’agir d’une coïncidence, me rétorquera-t-on. Songeons, alors, à la diffusion dans les réseaux sociaux de ce brevet en date du 20 novembre 2018, n° US 10.130.701 B2, dont on ne sait s’il est authentique, qui aurait été déposé pour le Coronavirus par le Pirbright Institute (GB), et dont les inventeurs seraient les chercheurs anglais Erka Bickerton, Sarah Keep et Paul Britton. Le site mondialisation.ca nous apprend, dans la même veine, qu’une équipe de chercheurs indiens aurait découvert que la composition dudit virus serait tout sauf naturelle, puisqu’elle comprendrait des éléments de Coronavirus et d’autres du VIH. Le dernier article paru sur le site E&R, en date du 11 mars (« D’où vient le coronavirus ? De Chine, des Etats-Unis… ou d’Israël ? ») se fait l’écho de ces conclusions biologiques. Ajoutez à cela que la capitale Wuhan abriterait un laboratoire bio-militaire P-4 et que LIESI souffle in sotto voce qu’il a été construit avec la participation de l'INSERM, institut français dont le Président se nomme Lévy et qui serait l’époux de notre ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn. Une rumeur court que le virus s’en serait échappée et une autre, plus complexe, indique qu’il proviendrait d’un laboratoire canadien et aurait ensuite « fuité » du laboratoire P-4 de Wuhan. Ce que vit la population chinoise aurait donc été prémédité, à titre d’essai - lit-on parfois - d’un projet plus démoniaque à venir.
Il demeure cependant difficile d’y voir clair et la vigilance nous oblige à constater que ces informations se contredisent souvent sur deux plans. En premier lieu, il nous a été donné de lire que la composition du Coronavirus dériverait de deux virus du même nom provenant de la chauve-souris et du SRAS – et non du VIH – issu du poisson. En second lieu, les uns soutiennent une conspiration américano-sioniste montant aux plus hautes sphères. A cette doctrine volontariste s’oppose une autre, accidentaliste, pour qui le Coronavirus aurait été créé par le gouvernement chinois dans le laboratoire P-4. Cette supposition nous paraît douteuse. Certes, le Parti Communiste Chinois serait ravi de décimer la population simiesque de Taïwan, issue de la rébellion anti-communiste de Tchan Kaï Chek. Les derniers incidents diplomatiques en mer de Chine entre les deux Etats conforteraient cette thèse. Et nous savons combien les maladresses participent au mouvement de l’Histoire. Elle est néanmoins peu crédible au regard de l’origine du brevet susmentionné, du contexte de guerre économique entre l’Amérique du Nord et la Chine, du fait que l’Oligarchie se recrute davantage outre-Atlantique qu’à Pékin, etc. Les deux thèses se rejoignent en revanche pour insinuer que le virus serait calibré à l’ADN asiatique. Nous confessons n’avoir aucune compétence en bactériologie et ne pas savoir si une telle prouesse de sélection est possible en laboratoire. Certes, les tableaux de mortalité qui nous sont communiqués par la presse ne mentionnent aucun Africain, ni aucun Sémite dans leur longue liste macabre. Nous savons par ailleurs que, quoiqu’ait professé un rapport officiel de l’UNESCO en 1950 sur l’inexistence biologique des races dans l’humanité (au reste démenti par une palanquée, versée en Annexe, de professeurs d’université éminents), de fortes disparités existent entre les groupes ethniques quant à la capacité à surmonter telle maladie. Qu’on songe, par exemple, à la variole contagieuse des conquistadors de Cortès et Pizarro, anodine pour eux, qui a annihilé 60 millions d’indiens en Amérique du Sud. Mais il est trop tôt pour tirer une conclusion aussi hâtive, d’autant plus que des cas avérés de décès d’européens de souche (italiens, français) ont été récemment déclarés. Rétorquer qu’il s’agit de personnes âgées vulnérables ne convainc pas tout à fait. Ce constat est simplement incompatible avec la thèse d’une adéquation du Coronavirus au seul ADN chinois. Il faudrait alors en déduire que ce virus est véritablement eugéniste, dédié à toute la population mondiale, et qu’il ne fait pas de quartiers. Sombre perspective.
Que tirer alors de certain de tout ceci ? Une chose est indubitable. La panique monte peu à peu dans l’Hexagone, au point que des entorses au Droit s’en trouvent légitimées sans coup férir. Une salariée nous déclarait aujourd’hui que son employeur l’avait contraint à lui préciser tous ses déplacements au Proche-Orient où elle comptait, la semaine prochaine, se rendre pour ses vacances. La réforme des retraites passera en force, en vertu de l’article 49-3 de la Constitution, sans que puisse manifester à nouveau une population que le tapage médiatique incite à éviter la foule. Les rassemblements ont été interdits, d’abord de 5000 personnes, puis de 1000 personnes, maintenant de 50 personnes. Les parisiens seraient au demeurant bien avisés de constituer des stocks de nourriture, puisque selon des rumeurs courant de l’hôpital Ambroise Paré et de celui de Bichat AP-HP, ils vont sans doute être contraints de rester confinés chez eux. Gageons enfin que la panique grossissant au fur et à mesure que s’écoulent les jours, des comportements asociaux s’observeront bientôt chez nos compatriotes, comme ce fut le cas dans la province de Hubei, où l’on a vu un père menacer avec une pelle ses enfants adultes venus lui apporter des cadeaux pour le Nouvel An chinois.
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